Conférence
*** Création ***
...

La Leçon
De Eugène Ionesco
Par : Frédérique Panadero et Philippe Sassoye
Mise en scène : Bernard Lefrancq


Sous sa plume absurde et acide, une simple leçon de mathématiques et de français se transforme en une meurtrière prise de pouvoir.
Pourtant la pièce s'ouvre innocemment sur le spectacle d'un professeur timide accueillant sa nouvelle élève, souriante et volontaire. Mais à mesure que s'avance cette leçon, les rapports entre le professeur et l'élève vont se modifier...

Prise de pouvoir politique et sexuel, viol " consenti et refusé ", acharnement pédagogique dans un face à face tragi-comique, acide et profondément absurde.


Du 17 avril au 12 mai 2007 à 20h30

Scolaires : du lundi au vendredi à 10h00 - 14h00
P.A.F. : 5 €

Tout public : jeudi, vendredi et samedi à 20h30
P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

leçonleçon

Presse

La Leçon
Un vieil homme et une adolescente.
Un professeur et son élève.
Philippe Sassoye et Frédérique Panadero.
Un face à face qui représente l’affrontement ancestral entre le pouvoir et le savoir opposés à la jeunesse et son insouciance.
Philippe Sassoye représente l’autorité qui s’avérera très vite violente et sans pitié.
Il assène sans ménagement un enseignement abscons dont on se demande parfois l’utilité.
Frédérique Panadero est l’étudiante, avide d’apprendre (ou poussée par des parents épris d’excellence ?), mais vite lassée par une savante logorrhée rendue encore plus imbuvable par un maître sans une once d’indulgence.

Dans une intensité progressive qui mélange le comique du discours pédant aux mimiques drolatiques de la gamine rebelle et excédée par tant de savoir imbuvable à ingurgiter, Ionesco signe une pièce qui va se terminer en folie meurtrière.
Tout à la fois drame loufoque et comédie amère La Leçon dénonce l’intransigeance culturelle de la culture, de l’incompréhension, d’un certain autoritarisme enseignant.
Le petit espace du Théâtre de la Clarencière rend encore plus proche cette tragédie de l’inévitable délicieusement interprétée par la primesautière Frédérique Panadero et Philippe Sassoye qui étonne par sa connaissance et sa maîtrise sans faille d’un texte particulièrement difficile.

Muriel Hublet

 

Théâtre
*** Création ***
Presse

Urgence
De Pépito Mattéo
(créé par l'auteur au festival Off d'Avignon en 2005)
Comédien : Philippe Moens
Musicien : Valery Demaré
Mise en scène : Marie-Joëlle Gillerot
Production : Stoemp Company asbl

 


« Vous, vous seriez quelqu’une ou quelqu’un d’aujourd’hui. Quelqu’un de bien, il va sans dire mais sans grands privilèges. Vous seriez dans la moyenne des gens qui sont dans le milieu de ceux qui ont les moyens… sans plus. Vous auriez vos idées, qui ne seraient pas forcément les vôtres mais que vous partageriez assez bien avec vous-même. Vous seriez moderne, c’est-à-dire pressé, débordé, overbooké, et pourtant vous voudriez le maximum de la vie : le fric sans trop en faire, l’amour et la liberté, l’aventure et la sécurité, le VTT et la piste cyclable, le beurre allégé, l’argent du beurre… Bref, vous seriez plutôt déconcerté s’il vous arrivait une chose aussi banale qu’un panaris. Sans doute pour avoir voulu toucher du bois, en vous disant "pourvu que ça dure". Et comme vous n’auriez pas de temps à perdre, vous iriez aux urgences pour que ça aille vite… Ça va ? Asseyez-vous, on va s’occuper de vous !

Et là, vous apprendriez, de pressé à devenir patient, à comprendre que l’essentiel de votre urgence cacherait au fond l’urgence de l’essentiel. Vous seriez, l’espace d’un temps imaginé, vous, public patient, souffrant parmi les souffrants, partageant pour une fois quelque chose avec le monde des malades, des meurtris, des blessés, des abandonnés, des battus, des perdants. Et tout ça vous redonnerait un regard nouveau sur ce monde qui vous "va".
Pour tout imaginer, il n’y aurait qu’un espace vide à partir duquel tout s’écrirait avec quelques gestes pour camper les situations et les personnages, quelques lumières et des mots pour voyager, s’émouvoir et rire. »

Lien vers le site web de la Stoemp Company : http://www.stoempcompany.be/


Jeudi 31 mai, vendredi 1er juin, samedi 2 juin à 20h30
Dimanche 3 juin à 15h00

Tout public :
P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

 

 

 

 
Théâtre
*** Création ***
Presse

Cinnamone


Avec : Ruben Hillewaere (voix, guitare acoustique) et Dieter Hillewaere (voix, guitare acoustique, harmonium, glockenspiel),
Jan Vermeulen (basse, choeurs, mandoline), Hélène Viratelle (violoncelle, choeurs) et
Renaud Versteegen
(batterie, percussions, choeurs)



Cinnamone est la fleur de cannelle cueillie par le jeune auteur-compositeur Ruben Hillewaere au printemps de 2005… Cinq musiciens belges jouent des morceaux acoustiques raffinés et polyphoniques, sur des paroles en anglais et en français où se mêlent intelligence et sensibilité ... Les voix qui s'entrelacent et le mélange original de multiples instruments issus de différents paysages musicaux donnent à Cinnamone une saveur particulière !
Ruben est un jeune auteur compositeur interprète ayant appris la guitare acoustique de façon autodidacte. Assez vite, il compose quelques morceaux pop folk et en écrit les paroles, en français et en anglais.  De 2003 à 2004, Ruben se produit en concert avec une préférence pour les petits lieux intimistes. Il est parfois accompagné de son frère Dieter au chant et à la guitare.
Durant cette période, Ruben est sélectionné par le jury de l'organisation « Ca balance [pas mal] » qui l'invite à enregistrer quatre titres dans le studio professionnel de la Province de Liège.  Son frère Dieter et Jan participent également à ces enregistrements. Les voici qui donnent naissance à une première version du groupe Cinnamone, à laquelle viendront se joindre presque immédiatement Hélène et Renaud.

Plus d'infos sur http://www.cinnamone.be

Tout public :
Jeudi 7 et vendredi 8 juin 2007 à 20h30

PRIX UNIQUE : 8

Cabaret musical et théâtral
*** Création ***
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Les Dames Blanches
Par : Barbara Dartsch
Isabelle Lamouline - chant et textes
Véronique Peynet
Compositions, arrangements et accompagnement au piano : Marc Hérouet
Mise en scène : Isabelle Lamouline


 

Découvrez un spectacle enjôleur, joyeux et triste, sensible et humoristique, étrange et perfidement innocent. Marqué au coin d'une folie doucement saugrenue. Chansons noires et roses mal réveillées d'un rêve surréaliste. Bouts de dialogues insensés, entrée dans un monde ambigu qui est l'image du réel.
La musique et la parole ne cesseront de se répondre et de se questionner.
Ils vous entraîneront dans l'étrangeté du fantasme, la tendresse dévoilée, la cruauté douce,...

Dame BlancheDame BlancheDame Blanche

Les lundi 18, mardi 19 et mercredi 20 juin 2007 à 20h30


P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

 

 


Festival d'Avignon
Juillet 2007 - 60ème édition !

Festival Off 2007

Théâtre
*** Création ***
Presse

Huis Clos
de Jean-Paul Sartre
Par Kim Leleux,
Frédérique Panadero
et Marc Gooris
Mise en scène : Bernard Lefrancq

Voir les critiques presse :
les 3 coups
Vaucluse Matin


Enfermez ensemble Garcin, Inès et Estelle, et regardez-les s’affronter à coups de mots livrés à leur conscience, jouant de violence et de lâcheté pour se masquer et se démasquer l’un l’autre : vous connaîtrez un avant-goût de l’enfer.

Ecrivain de théâtre, romans et essais philosophiques, le père de l’existentialisme privilégie, dans cette pièce de 1944, les thèmes des rapports humains et de la liberté qu’ils ont pour nature de compromettre. « L’enfer, c’est les autres » : pour chacun, la relation salutaire dans la connaissance de soi menace de tourner au calvaire et à l’engloutissement de l’être dans le regard de l’autre, devenu bourreau. Comment vivre avec autrui ? Comment mourir par lui, par le bûcher infernal qu’il incendie autour de nous ? Telles sont les interrogations que soulève Huis clos, étonnant tableau de la damnation :
Je ne l’aurais jamais cru…Vous vous rappelez : le soufre, le bûcher, le gril… Ah, quelle plaisanterie. Pas besoin de gril,
l’enfer c’est les autres. »










Du 6 au 28juillet 2007
à 14h00
Au Théâtre du Verbe Fou - Avignon

Conférence
*** Création ***
...

La Leçon
De Eugène Ionesco
Par : Frédérique Panadero et Philippe Sassoye
Mise en scène : Bernard Lefrancq


Sous sa plume absurde et acide, une simple leçon de mathématiques et de français se transforme en une meurtrière prise de pouvoir.
Pourtant la pièce s'ouvre innocemment sur le spectacle d'un professeur timide accueillant sa nouvelle élève, souriante et volontaire. Mais à mesure que s'avance cette leçon, les rapports entre le professeur et l'élève vont se modifier...

Prise de pouvoir politique et sexuel, viol " consenti et refusé ", acharnement pédagogique dans un face à face tragi-comique, acide et profondément absurde.

La Leçon
Un vieil homme et une adolescente.
Un professeur et son élève.
Philippe Sassoye et Frédérique Panadero.
Un face à face qui représente l’affrontement ancestral entre le pouvoir et le savoir opposés à la jeunesse et son insouciance.
Philippe Sassoye représente l’autorité qui s’avérera très vite violente et sans pitié.
Il assène sans ménagement un enseignement abscons dont on se demande parfois l’utilité.
Frédérique Panadero est l’étudiante, avide d’apprendre (ou poussée par des parents épris d’excellence ?), mais vite lassée par une savante logorrhée rendue encore plus imbuvable par un maître sans une once d’indulgence.
Dans une intensité progressive qui mélange le comique du discours pédant aux mimiques drolatiques de la gamine rebelle et excédée par tant de savoir imbuvable à ingurgiter, Ionesco signe une pièce qui va se terminer en folie meurtrière.
Tout à la fois drame loufoque et comédie amère La Leçon dénonce l’intransigeance culturelle de la culture, de l’incompréhension, d’un certain autoritarisme enseignant.
Le petit espace du Théâtre de la Clarencière rend encore plus proche cette tragédie de l’inévitable délicieusement interprétée par la primesautière Frédérique Panadero et Philippe Sassoye qui étonne par sa connaissance et sa maîtrise sans faille d’un texte particulièrement difficile.
Muriel Hublet - Plaisir d'Offrir - 2 mai 2007

leçonleçonleçon

 

Du 7 au 28 juillet 2007 à 20h00
Au Théâtre du Verbe Fou - 95 rue des Infirmières (3 Pilats) Avignon
www.leverbefou.fr
0033 (0)490 85 29 90

Presse

La Leçon
Un vieil homme et une adolescente.
Un professeur et son élève.
Philippe Sassoye et Frédérique Panadero.
Un face à face qui représente l’affrontement ancestral entre le pouvoir et le savoir opposés à la jeunesse et son insouciance.
Philippe Sassoye représente l’autorité qui s’avérera très vite violente et sans pitié.
Il assène sans ménagement un enseignement abscons dont on se demande parfois l’utilité.
Frédérique Panadero est l’étudiante, avide d’apprendre (ou poussée par des parents épris d’excellence ?), mais vite lassée par une savante logorrhée rendue encore plus imbuvable par un maître sans une once d’indulgence.

Dans une intensité progressive qui mélange le comique du discours pédant aux mimiques drolatiques de la gamine rebelle et excédée par tant de savoir imbuvable à ingurgiter, Ionesco signe une pièce qui va se terminer en folie meurtrière.
Tout à la fois drame loufoque et comédie amère La Leçon dénonce l’intransigeance culturelle de la culture, de l’incompréhension, d’un certain autoritarisme enseignant.
Le petit espace du Théâtre de la Clarencière rend encore plus proche cette tragédie de l’inévitable délicieusement interprétée par la primesautière Frédérique Panadero et Philippe Sassoye qui étonne par sa connaissance et sa maîtrise sans faille d’un texte particulièrement difficile.

Muriel Hublet