|  
            
            
           | 
         
         
           
             
              Traceur 
                de ligne 
                de Jacques 
                Nicolas 
             
           | 
         
         
          
 
                par 
                : Alain Tholl de l'Enclos 
                Mise en scène : 
                Franck Danger 
                 
               
           | 
         
         
           
            
               
                Annulé 
                    !! 
                   
                    ... Au fil des lignes ,je commençais à distinguer 
                    les rats qui couraient le long de la voie. 
                    Comme dans ce double récit, le passé se mêlait 
                    au présent. 
                    A l'arrivée, je ne savais plus très bien où 
                    j'étais: 
                    quelque part entre les lignes que vous aviez tracées… 
                    Peut être ma disparition a t'elle été 
                    constatée….. 
                    Ma seule certitude : le coupable , c'est vous ! 
                     
                    Amélie Nothomb 
                   
                    Scolaires : à 10h00 - 14h00 
                    P.A.F. : 5 €  
                  Jeudi 1er, vendredi 2, samedi 
                    3 mars 2007 à 20h30 
                  Tout public : 
                    P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 
                    : 1,25 €  
                   | 
               
             
           | 
         
       
      
         
           
            
            
               
                 
                  
                     
                      |  
                         Théâtre 
                       | 
                       
                        
                       | 
                       
                         Presse 
                       | 
                     
                   
                 | 
               
             
           | 
         
         
          |  
            
           | 
         
         
           
             
              par Mathilde 
                Mazabrard 
                et Bénédicte 
                Philippon 
               de  Mathilde 
                Mazabrard et 
                Bénédicte Philippon 
                Mise en scène : 
                Rosalie Vandepoortaele 
             
           | 
         
         
           
            
               
                 
                   
                     
                       
                          Labyrinthus females est un spectacle entièrement 
                        dédié aux femmes, créé pour 
                        elles et par elles, elles en sont la matière première. 
                        Une sorte de slalom entre des femmes, qui différent 
                        par leurs âges, leurs sensibilités, leurs 
                        priorités. On passe de l’une à l’autre, 
                        déshabillant leurs coeurs, leurs émotions, 
                        leurs ressentis, les accompagnant dans leur profondeur 
                        autant que dans leur légèreté.  
                        On explore avec elles les rapports entre hommes et femmes, 
                        dans l’humour et la gravité, dans la poésie 
                        et dans la prose. Notre but n'est ni féministe, 
                        ni polémique. Il est avant tout un but d'expression, 
                        et la parole sera bien sûr aussi donnée à 
                        ces messieurs... 
                        Bref, un moment très féminin, adressé 
                        à tous et à toutes !  
                         
                        Je n’invente rien ; selon une étude, devant 
                        leur miroir, les hommes se voient plus beaux qu’ils 
                        ne le sont. Les femmes, c’est l’inverse. Quand 
                        on y réfléchit, c’est pas étonnant. 
                        (in "je n'invente rien"). 
                         
                         
                         
                         
                         
                          
                       
                      Les jeudi 8, vendredi 9 et samedi 10 mars 2007 
                        à 20H30 
                       
                      Tout public : 
                        P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- 
                        Article 27 : 1,25 € 
                     
                                      | 
               
             
           | 
         
       
      
         
           
            
               
                 
                     
                      |   Théâtre - Cabaret  | 
                        
                          
                          | 
                        Presse  | 
                     
                    | 
               
              | 
         
         
          |   | 
         
         
            
              par Nathalie 
                Wener  
                Mise en scène : Joseph 
                Clark  
                | 
         
         
           
               
                  
                     
                       
                         Garance célèbre actrice de cinéma, 
                        habillée pour son rôle… 
                        En plein tournage ,stressée par sa maquilleuse 
                        qui l’a mise en retard ,elle regagne sa loge où 
                        elle voudrait encore revoir son texte . 
                        Son film se passant à Paris pendant la deuxième 
                        guerre mondiale, elle porte un tailleur gris et une chanson 
                        de Charles Trenet vous accueille dans l’ambiance 
                        d’un bar de l’époque… 
                        Un peu plus tard, l’accessoiriste lui apporte une 
                        « mystérieuse valise ».Qui lui a envoyée 
                        ? Que contient-elle ? 
                        Suffisamment pour que , soudain , tout bascule et l’emporte 
                        dans un espace-temps bien loin de sa réalité. 
                        Quelles vont être les conséquences de ses 
                        rencontres ?? 
                        Soyez très indiscret et parlez - en autour de vous 
                        !!! 
                        (in "je n'invente rien"). 
                      Les jeudi 15 et vendredi 16 mars 2007 à 
                        20H30 
                       
                      Tout public : 
                        P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- 
                        Article 27 : 1,25 € 
                     
                    | 
               
              | 
         
       
        
        
        
      
         
           
            
               
                |  
                    Lecture poétique à 2 voix 
                 | 
                 
                  
                 | 
                 
                  
                 | 
               
             
           | 
         
       
     | 
  
   
     
      
         
           
             
                Alain-Guy 
                Jacob est engagé depuis deux ans dans un travail tout particulier 
                de comédien-chanteur avec deux pianistes : Paul Lauwers 
                et Philippe Preudhomme –travail d’élaboration 
                de récitals de chansons françaises de grande écriture 
                entremaillées de brefs messages de poètes. 
                Il nous offre ici un récital sensible et un travail de 
                textes très abouti. 
              Dans l’écriture du premier recueil 
                de poèmes de jeunesse d’Alain-Guy Jacob, 
                Les yeux autour de la tête, Jean Collette avait perçu 
                déjà l’avenir du comédien, du metteur 
                en scène et du dramaturge. 
                Il parlait d’un monde préparé à l’avance, 
                où le monde réel était convié. 
                Aujourd’hui, au bout d’une longue vie randonnée 
                ou plutôt robinsonnée (comme disait Rimbaud), Alain-Guy 
                Jacob se coltine sa mémoire. 
                Son dernier récital de chansons et de brefs messages de 
                grands poètes s’appelle 
                La mémoire par cœur ; son nouveau recueil s’intitule 
                Fonds de mémoire. 
                Mais reste ici la mise en scène intérieure du monde 
                qui nous entoure, infiniment plus large que la mémoire 
                qui nous réduit au souvenir. 
                Des draps blancs et des oreillers dont émerge le regard 
                du poète, chaque matin étonnant, sur chaque matin 
                étonnant, c’est davantage le monde qui est en cause, 
                davantage la femme et l’amour, davantage le parcours de 
                la vie, davantage l’enfance et l’adolescence dont 
                on reste complice jusque dans la vieillesse. 
                Parce que la mort est impensable. 
                Jean Collette. 
              Jeudi 22, vendredi 23 et samedi 24 mars 
                2007  
                 
              Tout public : 
                P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 
              1,25 € 
                 
                  
             
           | 
         
       
     |