  La 
          véritable histoire de ... Enfin presque !  
          n'est ni la vérité, ni la réalité. Sur scène, 
          la chaîne de télévision, VHD, vous propose ses programmes, 
          son journal, ses sitcoms, ses publicités... dont les protagonistes 
          ne sont autres que divers personnages mythiques, évoquant bien 
          d’autres histoires célèbres tant chez les jeunes 
          que chez les moins jeunes. Un monde télévisuel et cynique 
          s'offre à vous… 
          Nous tentons de dénoncer la soi-disant « information », 
          de montrer de quelles façons la société essaye 
          de nous manipuler en imposant sa propre vérité.  
          Pour se faire, nous avons décidé d'employer des archétypes 
          millénaires et actuels, en passant par les mythes oubliés 
          jusqu'aux histoires de notre enfance.  
          Nous invitons le public à découvrir (ou redécouvrir) 
          une histoire, ainsi qu'à réfléchir sur la véracité 
          de ses propos. 
           
          En bref, plus d'une heure de spectacle délirante durant laquelle 
          humour, merveilleux et réalité se côtoient, s'entrechoquent 
          dans un véritable « cabaret du mensonge vrai »…enfin 
          presque ! 
       
     | 
  
   
     
         
           
              Tout public :  
               
              Jeudi 17, vendredi 18 et samedi 19 avril 2008 à 20h30 
              P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 
              € 
           | 
       
      
        *** Accueil ***   | 
       
      
        
               
                 La 
                soif et la source 
                Poèmes chantés d'ARAGON 
                Par Gérard André 
                
              | 
       
      
        
Dans 
                ce spectacle Gérard-André interprète 23 poèmes, 
                dont 12 qu’il a lui même mis en musique, « Ils 
                sont venus avec des fleurs », « La Soif Et La Source 
                », «Jeunes gens », « L’homme seul 
                » « Avec des mots à l’échelle 
                du vent » … et d’autres poèmes révélés 
                par Georges Brassens, « Il n’y a pas d’amour 
                heureux », Léo Ferré « L’étrangère 
                », « L’affiche rouge »…, ou Jean 
                Ferrat « Aimer à perdre la raison », « 
                Que serais-je sans toi ? »… notamment. 
                Un des grands interprètes français. Une voix au 
                service des poètes 
                Gérard-André, c'est à la fois une "grande 
                voix" et une passion inconditionnelle pour la poésie 
                et les poètes dont il s’est fait le messager. Interprète, 
                oui, mais avec une ferveur vibrante qui porte les mots, les émotions, 
                les sentiments. Ferveur servie par une voix chaude et harmonieuse 
                dont le lyrisme fait rejaillir la magie des paroles et amplifie 
                la beauté du chant, qu'il s'agisse d'une simple interprétation 
                ou d'une musique originale. Gérard-André est aussi 
                compositeur. On lui doit plusieurs récentes créations 
                : « Louis Aragon La Soif et la Source » qui fut remarqué 
                au Festival d'Avignon et « Chants Mêlés Victor 
                HUGO » créé en 2002 dans le cadre d’un 
                hommage rendu à Bruxelles (Bibliothèque Solvay) 
                par le ministre pour la région Bruxelloise Didier GOSUIN 
                à l’occasion du bicentenaire . 
               
              Extraits de presse 
                 
                LE RETROVISEUR 
                :  
                « …chantant et disant comme peu, sa voix grave, bien 
                posée l’inscrit dans un registre d’un Marc 
                Ogeret auquel on peut, en confiance, se référer 
                à plus d’un titre…C’est à dire 
                qu’il fallut à Gérard-André bien du 
                talent pour occulter les versions de Beaucarne (Rose au bois) 
                et de Nougaro (Dans la galère capitane où l’on 
                retrouve le gaillard d’avant), sur un territoire déjà 
                si fortement marqué. » Jean Pierre Nicol  
                LA MARSEILLAISE : « Ce grand artiste nous a alléchés, 
                régalés, rassasiés pendant plus de deux heures 
                en nous interprétant 23 chansons de son impressionnant 
                répertoire, sa voix exceptionnelle, troublante a su moduler 
                parfaitement lesverbes d’Aragon ou des extraits de l’œuvre 
                de Victor Hugo Christian H  
                UNE AUTRE CHANSON : ( revue belge N°87 pages in french) « 
                …une interprétation très personnelle. Une 
                voix grave et profonde qui colore de façon nouvelle les 
                chansons connues « rendez vous que les amateurs de chanson 
                poétique ne voudraient manquer pour rien au monde» 
                Francis Chenot  
                L’HUMANITE : « Gérard-André a une voix 
                grave et profonde qui tient parfaitement son timbre. C’est 
                chaud, c’est net, avec ces riens de tendre et de blessé 
                en résonance qu’il faut pour Aragon On sait subtile 
                et périlleuse à la diction la prosodie aragonienne 
                : Gérard-André se joue finement de tous les pièges 
                et ses partitions trouvent tout à coup le rythme qui rend 
                sans forcer le vertige du vers. Jean-Pierre Siméon  
                POETIQUES EN YVELINES : « Gérard-André nous 
                emmène au-delà de ce que nous écoutons tous 
                les jours En allant écouter Gérard-André 
                au théâtre Paris-Vincennes nous avons eu la sensation 
                de nous retrouver vingt ans plus tôt au célèbre 
                théâtre des Amandiers, à l’époque 
                où Léo Ferré ajoutait tout son talent scénique 
                » Jean-Marie Didier 
              | 
       
      
           
           | 
       
      
          Tout public : 
            Les jeudi 24, vendredi 25 et samedi 26 avril 
              2008 à 20h30 
              P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 
              €- Article 27 : 1,25 €  | 
       
      
        |   | 
       
      
        |   | 
       
     
       
       
      
         
          |  
            
            
           | 
         
         
           
             
              Le fils 
                de : Bénédicte 
                Philippon 
                Par : Rosalie 
                Vandepoortaele, Mikaël Sladden et 
                Jean-Marc Son 
              Mise en 
                scène : Bénédicte 
                Philippon  
             
           | 
         
         
          | 
 Photographies : Brassaï et Henri Cartier 
           | 
         
         
           
            
               
                 
                  
                       
                      
                      
                      
                      
                      
                      
                      
                      
                    
                    Lina et Marcello sont frère et soeur. 
                      Ils s'aiment et pourtant se déchirent, dans une Italie 
                      où les hommes et les femmes doivent chacun rester 
                      à leur place, en toutes circonstances. Leur complicité 
                      fusionnelle est la proie de la société et 
                      de la famille. Il faut les séparer, afin que Marcello 
                      devienne un homme et que Lina devienne femme. Aussi, voilà 
                      comment ils vont se quitter dans la première partie 
                      de la pièce, pour se retrouver dix ans plus tard, 
                      devenus ce que l'on voulait qu'ils soient. 
                      Dans un climat oscillant entre « Le Parrain » 
                      et « Huis clos », le spectacteur est 
                      livré à une joute verbale, dont les personnages 
                      se servent pour tenter de retenir puis de rejeter l'autre. 
                      Le parfum de la colère se fait sentir, la tension 
                      monte à son rythme, nous laissant entrevoir une relation 
                      plus qu'ambigüe et ne présageant rien de bon. 
                    Tout public 
                      :  
                      Mercredi 14, Jeudi 15, et vendredi 16 mai à 
                      20h30 
                      P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 
                      27 : 1,25 € 
                   
                 | 
               
             
           | 
         
       
     |