Théâtre poético-pictural
*** Création ***






Annulé pour cause de désistement

Rimbaud, il faut être absolument moderne !
D'après les textes de Arthur Rimbaud
Avec : Fabien Franchitti
Piano : Eve Béroux
Choix des textes : Eduardo Juanes, Andreas Cares
Conception Musicale : Javier Peñalver et Eve Beroux
Mise en scène : Renaud Lourtie
Production : Compagnie Le fil de l'araignée

Ces écritures-ci sont d’un jeune, tout jeune homme dont la vie s’est développée n’importe où; sans mère, sans pays, insoucieux de tout ce qu’on connaît fuyant toute force morale, comme furent déjà plusieurs pitoyables jeunes hommes. Mais celui-ci, il est si ennuyé qu'il n’a fait que s’amener à la mort comme à une pudeur terrible et fatale. La femme lui était étrangère, son âme en fut touchée au dehors comme au dedans. Des songes étrangers aux mortels venaient chaque soir secouer l’esprit qui le guettait.
Le monde s’accorde à dire que c’était un génie, lui, nous dirait : « Allez tous vous faire foutre! » car ‘Je est un autre’. Et voici de la prose sur l'avenir de la poésie !

Jeudi 20, vendredi 21, samedi 22 janvier 2011 à 20h30

Jeudi 27, vendredi 28, samedi 29 janvier 2011 à 20h30

P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

Conte poétique
*** Accueil ***
Presse
De la montagne à l'océan
L'homme, la femme et l'enfant

de et par Marianne Bastogne

Une création d’Icil@Terre, asbl



« La montagne n’est pas n’importe quelle montagne.
C’est à ce qu’on raconte une montagne sacrée. »

Spectacle familial vibrant par la beauté du texte et par son intention de relier l’être à ce qui l’entoure.

Monde minéral, végétal, animal… que l’on porte en soi.  Humain, quelquefois.
Il est question d’étoiles et d’ours blanc, de grenouilles, de femme et d’enfant.
Il est question de courage et de simplicité ; il est question de candeur et d’émerveillement. Il y a tout ça et encore plein d’autres choses : ce conte nous mène aux frontières repoussées de l’existence.

Marianne Bastogne, comédienne et poète, vous invite au voyage par les mots et les notes, le corps en mouvement d’une poésie vivante et incarnée.
Avec force, joie et gravité.

 « Tout glisse, tout passe, comme ma tendre enfant sur l’eau.
Comme une feuille, comme un ruisseau dans la rivière.
Comme moi dans la vie. La terre dans l’espace.
Tout passe.
Et du plus petit au plus grand évènement
Tout est parfaitement juste et à sa place.  »

Tout public :
Les mercredi 2 et jeudi 3 février 2011 à 20h30

P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

Théâtre
*** Reprise ***
Presse
Gilbert sur scène
de Yves Hunstad
Adaptation et interprétation : Jérémy Gendrot
Mise en scène : Anne-Marie Loop

Gilbert c’est un homme, Bruxellois, aux accents et formulations de phrases bien de chez nous. Il est simple, généreux et lumineux. Il est seul en scène, face à nous. Il a un micro, un beau costume, et les lumières plein feux sur lui. Tout est prévu pour lui ! Il a une énorme envie de nous raconter sa vie. Et il ne se gêne pas pour le faire, avec un humour hors du commun ! Maintenant que les gens sont là pour l’écouter… Le voyage peut commencer et il promet d’être riche et chavirant !


Les vendredi 4 et samedi 5 février 2011 à 20h30

P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

Théâtre
*** Accueil ***
Presse

 

Novecento

de Alessandro Baricco
Avec : Emmanuel De Candido et Pierre Solot
Production : Le Collectif Blauw

Qui est Novecento ? Novecento est né sur un paquebot qu’il n’a jamais quitté, Le Virginian, sans doute abandonné là par des parents pauvres émigrant d’Europe vers l’Amérique. Adopté par l’équipage, il grandit dans ce microcosme du début du XXème siècle qui voit passer à son bord un monde bigarré où toutes les classes sociales et toutes les nationalités des deux continents se côtoient en s’ignorant le plus souvent, par force ou par mœurs. Novecento fait exception. Devenu pianiste de génie, il joue pour les rupins de la salle de bal, pour les machinistes, pour les émigrants serrés tous ensemble dans les cales. Et surtout il se nourrit de leurs horizons, de leurs rêves et de leurs cultures pour inventer une musique que lui seul est capable de jouer. Quand à l’issue de la seconde guerre mondiale Le Virginian se voit destiné au sabordage, Novecento décide de ne pas en descendre. Sa décision tient à la tension paradoxale qu’il porte en lui : sur terre, tout est possible, mais il faut y tracer un chemin, déterminé et unique ; sur le paquebot au contraire, l’existence semble suspendue au gré des vagues, et les touches du piano, pourtant limitées en nombre, permettent au pianiste de visiter à souhait l’étendue infinie de ses désirs. Rester sur le navire devient donc tout à la fois le refus angoissé de la vie et sa consécration la plus exaltée.
« Tu n’es pas vraiment fichu, tant qu’il te reste une bonne histoire, et quelqu’un à qui la raconter. »

Tout public :

Les mardi 22, mercredi 23, jeudi 24, vendredi 25 et samedi 26 février 2011 à 20h30
Les mardi 1er, mercredi 2, jeudi 3, vendredi 4 et samedi 5 mars 2011 à 20h30

P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

Théâtre
*** Création ***
Presse
Par l'EMOI D'AMOUR - second volet de la trilogie
Dans la série " Elle, Lui, l'Amour ! "
Avec :
Ariane Zantain et Olivier Vaughn
Ecriture et mise en scène : Céline Hanneuse


L’amour se vit. L’amour se fait… L’amour se dit ! Oui, mais comment ?
Sur scène, Elle et Lui révèleront les mille et une façons de le témoigner ...
Ou comment déclarer, déclamer sa flamme et la nourrir jour après jour !
Dans la série "Elle, Lui ... L'Amour !", et après le succès du "Goût du Jour", un nouveau spectacle poétique rempli d'humour, de fraîcheur et d'optimisme, pour une ode à la joie de vivre et au bonheur partagé !

Une pièce pétillante qui met également la littérature à l'honneur en célébrant de façon originale des textes de Molière, Tagore, Charles Baudelaire, Alfred de Musset, George Sand, Alphonse Allais, Emile Verhaeren ...

www.elleluilamour.com

Le spectacle est issu de la série théâtre et cinéma « Elle, Lui… l’Amour ! » avec Ariane Zantain et Olivier Vaughn.
Une série unique déclinée à la fois sur les planches et à l’écran, qui propose un certain regard sur la vie… comme une façon de montrer à quel point le bonheur est souvent là, à portée de la main...

Les mercredi 16, jeudi 17, vendredi 18 et samedi 19 mars 2011 à 20h30

P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

 

Théâtre
*** Création ***
Presse
Adeus
d'après les Lettres de la religieuse portugaise, de Guilleragues

Adaptation et interprétation : Catherine Mery
Création lumières : Bernard Escoffier
Musique : Quatrième quatuor à cordes de Dimitri Chostakovitch
Compagnie : Art et Latte



« Pourrais-je survivre à ce qui m’occupe incessamment pour mener une vie tranquille et languissante ? Ce vide et cette insensibilité ne peuvent me convenir. »


Abandonnée par l’homme qu’elle aime et livrée à la solitude, une femme choisit de se donner entièrement à la passion : elle se confronte à sa sensibilité et sa féminité, passant de la joie à la tristesse, de l'attente à la colère, du désespoir à la folie, du doute à la réflexion sur soi...
A travers l’écriture, il devient pour elle essentiel de ressentir cette passion, seule respiration possible dans une société rigide, seule échappatoire vers la vie.
« Pourrais-je survivre à ce qui m’occupe incessamment pour mener une vie tranquille et languissante ? Ce vide et cette insensibilité ne peuvent me convenir. »

Revue de presse :
Coup de coeur ARTE (19 juillet 2010) : « Exemplaire performance de la comédienne qui, seule en scène, fait exister et résonner la parole de cette religieuse passionnée (…) Cette désarmante facilité qu’elle a de naviguer dans la langue de Guilleragues (…) Son regard si clair qui accroche les âmes de ses auditeurs à la suite de son récit, comme autant de poussières dans le sillage d’un corps céleste. »
Le Dauphiné Libéré (26 juillet 2010) : « L’actrice nous sert avec brio de l’amour passion (…) Le public passe par diverses émotions. Il est touché par un personnage qui va prendre conscience que c’est sa passion et non l’être aimé qui importe fondamentalement. »
Le Petit Journal - Lisbonne (10 décembre 2010) : « Un lien culturel fort entre la France et le Portugal. »
Institut Camoes - Lisbonne (10 décembre 2010) : « Catherine Mery monte sur la scène de l’Institut Franco-Portugais et exprime la passion de Mariano Alcoforado. »
Correio da Manha - Lisbonne (15 décembre 2010) : « On sent l’influence du cinéma de John Cassavetes et Gena Rowlands, revendiquée par la comédienne, dans la construction d’un personnage de femme fascinante et en perte d’équilibre. »
Time Out - Lisbonne (15 décembre 2010) : « La Compagnie Art et Latte amène à l’Institut Franco-Portugais la joie et la tristesse, l’espoir et l’angoisse, l’histoire d’une femme qui se confronte à elle-même et trouve refuge dans l’écriture. »


 

Tout public : Les jeudi 24, vendredi 25 et samedi 26 mars 2011 à 20h30


P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €- Article 27 : 1,25 €

 

 
Vacances de Pâques

Nous sommes au Théâtre Le Verbe Fou pour le
Festival Festo Pitcho - 5ème Edition à Avignon
du 9 au 14 avril 2011
dans Florine et la mystérieuse pendule
Par le Pouffe Théâtre
Spectacle de 4 à 10 ans

et en représentation à Dakar
à l'Arbre à Palabres
du 10 au 28 avril 2011
Avec les spectacles :

En cours