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Les sonnets
William Shakespeare
Extraits des 154 Sonnets
Par Liliane
Boivin, Fabien Dumont,
Rachel Heymans et
Fabrice Holvoet
Mise en scène : Rudy
Vico
Production
: Les Façons du temps
On le connaît surtout pour son
œuvre théâtrale qui a fait de lui l’auteur le
plus traduit (après la Bible) mais ce sont aussi ses magnifiques
« sonnets » qui lui ont valu le surnom « The Bard
» chez les anglo-saxons, plus grand écrivain de tous temps
pour certains.
28 ont été choisis (traduits au plus près du texte
original de Germaine Gerin), mis en musique par thème : amour,
désir, jalousie, amertume, hantise de la vieillesse et de la
mort. 28 sonnets élisabethains emplis de modernité exceptionnelle,
accompagnés d’instruments pour un contraste en finesse épurée,
rendant grâce à la préciosité et à
la puissance de la langue shakespearienne.
Jeudi 5, Vendredi 6, Samedi 7 octobre 2006 à
20h30
Tout public :
P.A.F. : 12 € - étudiant : 8 €-
Article 27 : 1,25 €
*** Accueil *** |
Velours bronze |
par Monique
Manceaux |
Tout public : |
Dédié
au Jazz, fil conducteur du scénario, ce spectacle théâtral
nous fait découvrir les conditions dans lesquelles cette musique
est née et constitue le véhicule de toute une culture où
le reflet de l’amour, de la haine, de l’injustice, de la corruption
et du racisme reste sans cesse présent.
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Les Mots dits du Nord |
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Par Sylvie Rigot et Marc Gooris Sous l'oeil attentif de Charles
Kleinberg |
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Entre ombre et lumière du nord, un rayon de soleil
tranche la grisaille : la poésie belge; chant de
terre et pierres, de chairs et de passions, humeur douce-amère,
en demi-teinte, tendre et rocailleuse. De Mireille Wertz
à Karel Logist aux talents confirmés Andrée
Sodenkamp et Jacques Viesvil, une re-découverte
! 
On le connaît comme comédien, comme metteur en scène,
comme animateur…. 
Cinnamone est la
fleur de cannelle cueillie par le jeune auteur-compositeur Ruben Hillewaere
au printemps de 2005… Ces cinq musiciens belges vous jouent des
morceaux acoustiques raffinés et polyphoniques, basés sur
des paroles en anglais et en français où l'intelligence
et la sensibilité se mêlent...
"À l'occasion de la sortie de son deuxième ouvrage, Comme je la vois de Karine 
Rencontre improbable entre les penseurs des Lumières, dialogue
imagé entre valet et maître, entrecoupé d’anecdotes,
cette promenade nous emmène au fil des métaphores
et des analyses. 
Le
recueil emblématique de l’œuvre d’Apollinaire,
Alcool, paru en 1913, jongle avec les mots, les sons, les
rythmes, les idées et s’adapte donc idéalement
à la lecture théâtrale.
Les
propos que Claire Vloebergh nous dévoile avec humour, tendresse
et dérision nous plongent inévitablement dans lestumultes
que rencontrent les femmes de notre temps. On y voit dans le feu
la femme forte, belle, responsable, sensuelle, libre et conquérante
et puis aussi LA femme : celle qui aime profondément, celle
qui console, celle qui ne sait que faire de ses désirs
et de ses choix contradictoires. 
Tiré
d'un ouvrage du même nom de Xavier Durringer ce spectacle présente
une série de monologues traitant de diverses formes que peut prendre
la relation homme-femme, vu du point de vue d'une femme. Trahison, jalousie,
solitude, doute, sont au menu de cette pièce intimiste à
la langue contemporaine, colorée, parfois choc, toujours juste.
a
« Vous, vous seriez quelqu’une ou quelqu’un d’aujourd’hui.
Quelqu’un de bien, il va sans dire mais sans grands privilèges.
Vous seriez dans la moyenne des gens qui sont dans le milieu de ceux qui
ont les moyens… sans plus. Vous auriez vos idées, qui ne
seraient pas forcément les vôtres mais que vous partageriez
assez bien avec vous-même. Vous seriez moderne, c’est-à-dire
pressé, débordé, overbooké, et pourtant vous
voudriez le maximum de la vie : le fric sans trop en faire, l’amour
et la liberté, l’aventure et la sécurité, le
VTT et la piste cyclable, le beurre allégé, l’argent
du beurre… Bref, vous seriez plutôt déconcerté
s’il vous arrivait une chose aussi banale qu’un panaris. Sans
doute pour avoir voulu toucher du bois, en vous disant "pourvu que
ça dure". Et comme vous n’auriez pas de temps à
perdre, vous iriez aux urgences pour que ça aille vite… Ça
va ? Asseyez-vous, on va s’occuper de vous !